L’artiste vaudoise Claudia Comte est née en 1983 à Grancy et sort diplômée de l’École cantonale d’art de Lausanne (ECAL) en 2007. Parallèlement à un Master mené dans cette même ville, à la Haute école pédagogique, elle gagne plusieurs résidences d’artiste à Paris (2008), à Berlin (2009), à Rome (2010) et à Johannesburg, en Afrique du Sud (2013-2014), ainsi que de nombreux prix dont le Swiss Art Awards en 2014.
Multidisciplinaire, elle pratique diverses techniques – peinture, sculpture et gravure – souvent rassemblées au sein de ses installations. Si l’artiste maîtrise tant la tronçonneuse que l’imprimante 3D, c’est que son goût pour l’expérimentation l’entraîne sans limite dans un vaste champ créatif. L’alternance d’outils et de matériaux, comme le marbre et le bois, fait partie intégrante de son œuvre prolifique et dynamique.
À l’image des mondes dont elle s’inspire, de l’artisanat à la culture populaire ou encore l’histoire de l’art, elle multiplie les références aussi amusantes qu’artistiques. Souvent composées de lignes géométriques comme le zigzag ou encore le cercle, ses peintures murales rappellent notamment le courant Op Art puis néo-géo. Parmi les autres motifs privilégiés de l’artiste, le cactus, le donut, ou des expressions et images attrapées des cartoons, ponctuent son vocabulaire formel alliant figuration et abstraction.
La décomposition tout comme la répétition rythment son travail intra- et extra-muros, qu’il s’empare de l’environnement muséal du Centre culturel suisse de Paris (2013) et du Haus Konstruktiv de Zurich (2014) ou du désert de Palm Springs (2017), pour ne nommer que quelques-unes de ses expositions.
Ayant pourtant recours à une multitude de supports et de processus créatifs, son travail est devenu facilement reconnaissable car il s’est forgé une identité propre, à l’aspect ludique et graphique. Claudia Comte joue aussi sur la participation du public, l’entraînant parfois à retomber en enfance. À Lucerne en 2017, elle l’invite sur ses balançoires sculptées dans le bois et mises à la disposition des visiteurs dans une grande salle du Kunstmuseum à l’occasion de son exposition personnelle. La même année à Bâle, sur la Messeplatz, son installation et palindrome NOW I WON (2017) regorge d’activités directement inspirées du milieu de la fête foraine offrant aux passants gaieté et plaisir du jeu.
Claudia Comte vit et travaille entre Berlin et Grancy.
Multidisciplinaire, elle pratique diverses techniques – peinture, sculpture et gravure – souvent rassemblées au sein de ses installations. Si l’artiste maîtrise tant la tronçonneuse que l’imprimante 3D, c’est que son goût pour l’expérimentation l’entraîne sans limite dans un vaste champ créatif. L’alternance d’outils et de matériaux, comme le marbre et le bois, fait partie intégrante de son œuvre prolifique et dynamique.
À l’image des mondes dont elle s’inspire, de l’artisanat à la culture populaire ou encore l’histoire de l’art, elle multiplie les références aussi amusantes qu’artistiques. Souvent composées de lignes géométriques comme le zigzag ou encore le cercle, ses peintures murales rappellent notamment le courant Op Art puis néo-géo. Parmi les autres motifs privilégiés de l’artiste, le cactus, le donut, ou des expressions et images attrapées des cartoons, ponctuent son vocabulaire formel alliant figuration et abstraction.
La décomposition tout comme la répétition rythment son travail intra- et extra-muros, qu’il s’empare de l’environnement muséal du Centre culturel suisse de Paris (2013) et du Haus Konstruktiv de Zurich (2014) ou du désert de Palm Springs (2017), pour ne nommer que quelques-unes de ses expositions.
Ayant pourtant recours à une multitude de supports et de processus créatifs, son travail est devenu facilement reconnaissable car il s’est forgé une identité propre, à l’aspect ludique et graphique. Claudia Comte joue aussi sur la participation du public, l’entraînant parfois à retomber en enfance. À Lucerne en 2017, elle l’invite sur ses balançoires sculptées dans le bois et mises à la disposition des visiteurs dans une grande salle du Kunstmuseum à l’occasion de son exposition personnelle. La même année à Bâle, sur la Messeplatz, son installation et palindrome NOW I WON (2017) regorge d’activités directement inspirées du milieu de la fête foraine offrant aux passants gaieté et plaisir du jeu.
Claudia Comte vit et travaille entre Berlin et Grancy.
