De très larges feuilles de papier sont devenues le support principal de l’artiste Thomas Hauri depuis son changement de médium pictural. Malgré une spécialisation en peinture classique, à l’huile, à la Hochschule für Gestaltung und Kunst de Bâle (1996-1999), il se tourne vers la pratique de l’aquarelle lors d’un séjour à Berlin, en 2001.
Cette technique plus directe et spontanée, qu’il considérait jusque-là comme secondaire, devient son champ d’expérimentation privilégié au moyen duquel il représente des formes architecturales, hall, esplanade, porte et fenêtre, dans des perspectives partiellement abstraites.
Après des séries inspirées de bâtiments existant et portant un titre, comme la série Prora (2005) – isolant des parties du complexe balnéaire du même nom –, ses sujets tendent petit à petit vers un plus grand degré d’abstraction et se détachent de tout motif identifiable.
Ses expositions personnelles, notamment au Kunsthaus Baselland (2016), révèlent ce profond dialogue entre la construction symbolique de ses espaces et l’architecture réelle, associant habilement la délicatesse du médium à l’intensité des tonalités.
Thomas Hauri vit et travaille à Bâle.
Cette technique plus directe et spontanée, qu’il considérait jusque-là comme secondaire, devient son champ d’expérimentation privilégié au moyen duquel il représente des formes architecturales, hall, esplanade, porte et fenêtre, dans des perspectives partiellement abstraites.
Après des séries inspirées de bâtiments existant et portant un titre, comme la série Prora (2005) – isolant des parties du complexe balnéaire du même nom –, ses sujets tendent petit à petit vers un plus grand degré d’abstraction et se détachent de tout motif identifiable.
Ses expositions personnelles, notamment au Kunsthaus Baselland (2016), révèlent ce profond dialogue entre la construction symbolique de ses espaces et l’architecture réelle, associant habilement la délicatesse du médium à l’intensité des tonalités.
Thomas Hauri vit et travaille à Bâle.
