Née à Berne en 1982, Marta Riniker-Radich passe une partie de son enfance sur une base militaire américaine au Panama, où son beau-père est enseignant, avant de revenir en Suisse romande à l’âge de douze ans.
Diplômée de la Haute école d’art et de design (HEAD) de Genève en 2008, elle se consacre dès lors à l’exploration de son médium de prédilection, le dessin, dont son approche singulière lui permet d’émerger rapidement sur la scène artistique suisse. Membre du collectif d’artistes qui gère l’espace d’exposition Hard Hat à Genève, elle enchaîne très rapidement les expositions collectives (Centre d’art contemporain, Genève, 2009 ; Aargauer Kunsthaus, 2011) et personnelles (Kunst¬haus Langenthal, 2013 ; Kunsthaus Glarus, 2014), puis obtient successivement plusieurs prestigieuses résidences d’artistes (Fieldwork Marfa, Texas, 2014 ; Istituto Svizzero, Rome, 2015-2016).
En 2016, elle se voit décerner le Manor Kunstpreis Aargau qui lui permet de monter une exposition personnelle d’envergure à l’Aargauer Kunsthaus. Elle y dévoile une vaste palette de son travail créatif qui dépasse les frontières du dessin et où dialoguent projections vidéo, objets modelés et écrits divers.
La même année elle présente son travail au Swiss Institute à New York lors d’une exposition personnelle intitulée Every Home a Fortress Every Hearth a Blossom, où elle exploite pleinement l’espace qui lui est dévolu. Elle installe notamment des filtres sur les vitres de la galerie afin de l’isoler du monde extérieur et suspend au plafond des seaux en plastique bricolés de façon rudimentaire qui filtrent l’eau du Hudson River. Cet univers étrange imaginé par l’artiste évoque à la fois ses années passées au Panama, et plus largement l’isolationnisme d’une Amérique rurale profondément anti-gouvernementale, et son culte du survivalisme.
Fruit d’une évolution artistique qui s’affranchit de toutes contraintes, son œuvre ne cesse depuis de gagner en visibilité et fait aujourd’hui partie de plusieurs collections publiques (Fonds cantonal d’art contemporain, Genève ; Collection d’art de la Confédération CAC) et privées. Marta Riniker-Radich vit et travaille à Genève.
Diplômée de la Haute école d’art et de design (HEAD) de Genève en 2008, elle se consacre dès lors à l’exploration de son médium de prédilection, le dessin, dont son approche singulière lui permet d’émerger rapidement sur la scène artistique suisse. Membre du collectif d’artistes qui gère l’espace d’exposition Hard Hat à Genève, elle enchaîne très rapidement les expositions collectives (Centre d’art contemporain, Genève, 2009 ; Aargauer Kunsthaus, 2011) et personnelles (Kunst¬haus Langenthal, 2013 ; Kunsthaus Glarus, 2014), puis obtient successivement plusieurs prestigieuses résidences d’artistes (Fieldwork Marfa, Texas, 2014 ; Istituto Svizzero, Rome, 2015-2016).
En 2016, elle se voit décerner le Manor Kunstpreis Aargau qui lui permet de monter une exposition personnelle d’envergure à l’Aargauer Kunsthaus. Elle y dévoile une vaste palette de son travail créatif qui dépasse les frontières du dessin et où dialoguent projections vidéo, objets modelés et écrits divers.
La même année elle présente son travail au Swiss Institute à New York lors d’une exposition personnelle intitulée Every Home a Fortress Every Hearth a Blossom, où elle exploite pleinement l’espace qui lui est dévolu. Elle installe notamment des filtres sur les vitres de la galerie afin de l’isoler du monde extérieur et suspend au plafond des seaux en plastique bricolés de façon rudimentaire qui filtrent l’eau du Hudson River. Cet univers étrange imaginé par l’artiste évoque à la fois ses années passées au Panama, et plus largement l’isolationnisme d’une Amérique rurale profondément anti-gouvernementale, et son culte du survivalisme.
Fruit d’une évolution artistique qui s’affranchit de toutes contraintes, son œuvre ne cesse depuis de gagner en visibilité et fait aujourd’hui partie de plusieurs collections publiques (Fonds cantonal d’art contemporain, Genève ; Collection d’art de la Confédération CAC) et privées. Marta Riniker-Radich vit et travaille à Genève.
