Peintre de genre et de paysage, caricaturiste ou encore graveur, Wolfgang-Adam Töpffer est une figure majeure de la première école genevoise.
Avec Pierre-Louis De la Rive, il parcourt la région à la quête de paysages dont tous deux mènent l’étude sur le motif. En s’inspirant des modèles hollandais et d’une vision idyllique de la nature, qui sied particulièrement au mode de vie rural de la région lémanique, Töpffer contribue alors au renouvellement de la peinture de genre.
Ses tableaux racontent des événements du quotidien, la vie des marchés et de la campagne auxquels il apporte une touche pittoresque et le souci de représenter la nature telle qu’elle lui apparaît. Reconnu, entre autres, pour sa grande maîtrise de l’aquarelle, Töpffer recourt notamment à une nouvelle technique, le lavis « à la sépia », que l’on peut apprécier dans La Promenade de Saint-Antoine à Genève.
Avec Pierre-Louis De la Rive, il parcourt la région à la quête de paysages dont tous deux mènent l’étude sur le motif. En s’inspirant des modèles hollandais et d’une vision idyllique de la nature, qui sied particulièrement au mode de vie rural de la région lémanique, Töpffer contribue alors au renouvellement de la peinture de genre.
Ses tableaux racontent des événements du quotidien, la vie des marchés et de la campagne auxquels il apporte une touche pittoresque et le souci de représenter la nature telle qu’elle lui apparaît. Reconnu, entre autres, pour sa grande maîtrise de l’aquarelle, Töpffer recourt notamment à une nouvelle technique, le lavis « à la sépia », que l’on peut apprécier dans La Promenade de Saint-Antoine à Genève.