Née en 1947 à Zoug, Annelies Strba pratique la photographie depuis l’âge de quinze ans. Connue pour photographier son entourage proche et essentiellement ses filles, elle réalise sa première exposition en 1990 à la Kunsthalle de Zurich et s’engage ainsi sur la voie artistique à l’âge de quarante-trois ans.
Ces dernières années, ses photographies rendent compte d’un univers onirique où les protagonistes s’apparentent à des elfes surgis d’un conte. Comme pour résister à une certaine violence véhiculée par les médias, l’artiste zougoise créé un univers imaginaire dans le dessein de montrer une harmonie en toute chose. Ses images artificielles et composées racontent un monde fantastique, proche du rêve, tout en prenant la réalité pour décor. « Quand je fais des films vidéo à New York ou chez des paysans, j’aimerais montrer qu’il s’agit d’un tout. » Pour y parvenir, elle a recours aux outils informatiques et retravaille ses prises de vues numériques ou tirées de vidéos qu’elle imprime généralement sur toile. Elle-même dit vouloir travailler « comme un peintre » et utilise Photoshop comme s’il s’agissait d’un pinceau.
Représentée dans de nombreuses collections photographiques à travers le monde, l’œuvre d’Annelies Strba a fait l’objet d’expositions personnelles au Kunsthaus de Zoug, au Musée d’art contemporain de Chicago, à la Tate Gallery de Liverpool, à la Maison européenne de la photographie de Paris et, en 2003, au Helmhaus de Zurich.
Ces dernières années, ses photographies rendent compte d’un univers onirique où les protagonistes s’apparentent à des elfes surgis d’un conte. Comme pour résister à une certaine violence véhiculée par les médias, l’artiste zougoise créé un univers imaginaire dans le dessein de montrer une harmonie en toute chose. Ses images artificielles et composées racontent un monde fantastique, proche du rêve, tout en prenant la réalité pour décor. « Quand je fais des films vidéo à New York ou chez des paysans, j’aimerais montrer qu’il s’agit d’un tout. » Pour y parvenir, elle a recours aux outils informatiques et retravaille ses prises de vues numériques ou tirées de vidéos qu’elle imprime généralement sur toile. Elle-même dit vouloir travailler « comme un peintre » et utilise Photoshop comme s’il s’agissait d’un pinceau.
Représentée dans de nombreuses collections photographiques à travers le monde, l’œuvre d’Annelies Strba a fait l’objet d’expositions personnelles au Kunsthaus de Zoug, au Musée d’art contemporain de Chicago, à la Tate Gallery de Liverpool, à la Maison européenne de la photographie de Paris et, en 2003, au Helmhaus de Zurich.
