Ces trois œuvres résultent de la richesse du double héritage de Vivian Suter – helvétique et argentin – avec des compositions vibrantes et hautes en couleurs. Les trois pièces ont pour point commun un format imposant et une thématique convoquant la nature, une nature puissante, dont l’artiste accepte la supériorité.
L’œuvre qui date de 1982 présente le tracé énergique d’une tige agrémentée de feuilles stylisées et une découpe irrégulière de la toile. Avec une gestuelle très libre, les deux autres, probablement plus tardives, ont été brossées à l’acrylique, parfois mêlée à des éléments organiques, témoins de l’imprévisibilité de la nature. Entre les couches successives de peinture, des fragments de terre, de pierres volcaniques, de bois et de plantes peuvent en effet souvent se découvrir sur les toiles de Vivian Suter et en modifier la texture.
Avec le temps, ses œuvres établissent une résonance toujours plus profonde avec la terre, dans des motifs parfois flous comme ici, qui peuvent signifier les mouvements de l’eau, du vent, de silhouettes humaines ou animales, de fonds marins ou des champs végétaux. Autant d’éléments pour intégrer et représenter le vivant, prouvant que Vivian Suter a fait de la forêt tropicale du Guatemala son atelier.
L’œuvre qui date de 1982 présente le tracé énergique d’une tige agrémentée de feuilles stylisées et une découpe irrégulière de la toile. Avec une gestuelle très libre, les deux autres, probablement plus tardives, ont été brossées à l’acrylique, parfois mêlée à des éléments organiques, témoins de l’imprévisibilité de la nature. Entre les couches successives de peinture, des fragments de terre, de pierres volcaniques, de bois et de plantes peuvent en effet souvent se découvrir sur les toiles de Vivian Suter et en modifier la texture.
Avec le temps, ses œuvres établissent une résonance toujours plus profonde avec la terre, dans des motifs parfois flous comme ici, qui peuvent signifier les mouvements de l’eau, du vent, de silhouettes humaines ou animales, de fonds marins ou des champs végétaux. Autant d’éléments pour intégrer et représenter le vivant, prouvant que Vivian Suter a fait de la forêt tropicale du Guatemala son atelier.