Né en 1983 dans le Massachusetts, aux États-Unis, Greg Parma Smith est un artiste suisse et américain. Il vit et travaille à New York où il a étudié les beaux-arts. En 2007, il sort diplômé de l’Université de Columbia.
Depuis lors, Parma Smith n’a cessé d’interroger l’univers visuel quotidien à travers sa pratique de la peinture à l’huile. Une technique classique qu’il associe à diverses formes d’assemblage dans une liberté totale, images parfois juxtaposées les unes aux autres, laissant une feuille de papier se décoller, s’enrouler ou déborder des limites traditionnelles de son support.
Dans ce jeu, entre superposition et prolongement, plusieurs motifs apparaissent simultanément, comme les différentes couches d’un bloc de papier ou les souvenirs aléatoires de notre mémoire visuelle. De la nature morte au nu, en passant par le portrait, le paysage, le lettrage calligraphique ou le graffiti, ses sujets abordent tous les registres et empruntent leurs caractéristiques à différents artisanats, sous-cultures, ou courants picturaux, dans un impressionnant souci de mimétisme.
Si ses sources d’inspiration varient, son recours à la peinture reste quant à lui constant. Parfois teinté de nostalgie, son œuvre fait également revivre toutes sortes de pratiques expérimentales développées dans le New York des années 1970 et 1980 telles que le fanzine. Le questionnement sous-jacent à sa démarche demeure celui du statut de l’image dans notre société. Sans cesse détournée, réinterprétée, elle perd peu à peu son sens premier pour acquérir une signification multiple.
Des crayons de couleur, des oranges, une pile de papier d’origami, Parma Smith puise dans la banalité pour reproduire ses sujets chargés de références. Son geste adroit traduit une profonde maîtrise à s’adapter au style qu’il interprète mais, au-delà de la prouesse technique de la copie, ou du trompe-l’œil, Parma Smith porte un regard nouveau sur ces sources aussi familières qu’hétéroclites, rappelant au passage la récupération des images de la culture de masse qui contribua à la gloire du Pop Art dans les années 1960.
Des expositions personnelles ont déjà été consacrées au travail de l’artiste, notamment au Swiss Institute de New York (2008), au Contemporary Art Museum St. Louis, Missouri (CAM, 2010) et plus récemment, en 2017, au Musée d’art moderne et contemporain de Genève (MAMCO).
Depuis lors, Parma Smith n’a cessé d’interroger l’univers visuel quotidien à travers sa pratique de la peinture à l’huile. Une technique classique qu’il associe à diverses formes d’assemblage dans une liberté totale, images parfois juxtaposées les unes aux autres, laissant une feuille de papier se décoller, s’enrouler ou déborder des limites traditionnelles de son support.
Dans ce jeu, entre superposition et prolongement, plusieurs motifs apparaissent simultanément, comme les différentes couches d’un bloc de papier ou les souvenirs aléatoires de notre mémoire visuelle. De la nature morte au nu, en passant par le portrait, le paysage, le lettrage calligraphique ou le graffiti, ses sujets abordent tous les registres et empruntent leurs caractéristiques à différents artisanats, sous-cultures, ou courants picturaux, dans un impressionnant souci de mimétisme.
Si ses sources d’inspiration varient, son recours à la peinture reste quant à lui constant. Parfois teinté de nostalgie, son œuvre fait également revivre toutes sortes de pratiques expérimentales développées dans le New York des années 1970 et 1980 telles que le fanzine. Le questionnement sous-jacent à sa démarche demeure celui du statut de l’image dans notre société. Sans cesse détournée, réinterprétée, elle perd peu à peu son sens premier pour acquérir une signification multiple.
Des crayons de couleur, des oranges, une pile de papier d’origami, Parma Smith puise dans la banalité pour reproduire ses sujets chargés de références. Son geste adroit traduit une profonde maîtrise à s’adapter au style qu’il interprète mais, au-delà de la prouesse technique de la copie, ou du trompe-l’œil, Parma Smith porte un regard nouveau sur ces sources aussi familières qu’hétéroclites, rappelant au passage la récupération des images de la culture de masse qui contribua à la gloire du Pop Art dans les années 1960.
Des expositions personnelles ont déjà été consacrées au travail de l’artiste, notamment au Swiss Institute de New York (2008), au Contemporary Art Museum St. Louis, Missouri (CAM, 2010) et plus récemment, en 2017, au Musée d’art moderne et contemporain de Genève (MAMCO).
