Considéré comme le chef de file du romantisme genevois, François Diday naît en 1802 dans une Genève alors française. Il commence sa formation à onze ans avec Abraham Constantin et la parfait à l’Académie de dessin. Il apprend à peindre le paysage en parcourant la région et en copiant des tableaux chez les collectionneurs genevois.
Patriote dans l’âme, il voue sa vie entière à la promotion des valeurs helvétiques à travers la beauté et la grandeur du paysage suisse. Il participe activement à la vie politique de sa ville natale, partageant les idées des libéraux modérés et s’opposant fortement aux conservateurs gouvernementaux de la Restauration.
Premier peintre genevois à affectionner le motif des Alpes, il forme dès 1829 des élèves, dont Alexandre Calame qui devient un ami et un rival en la matière. Grâce à ces deux artistes, la peinture genevoise de paysage se fait connaître à travers toute l’Europe : ils exposent à Paris, à Bruxelles, à Vienne, à Turin, sont primés, admirés, achetés par les collectionneurs et les têtes couronnées européennes.
Artiste engagé, Diday souhaite créer une école gratuite de dessin à Genève et offre à la Société des Arts une somme destinée à l’organisation de concours pour les artistes dont Hodler sera l’un des bénéficiaires. Il lègue également deux immeubles à la Ville, dont le revenu doit être employé chaque année à l’achat d’œuvres d’artistes suisses.
Patriote dans l’âme, il voue sa vie entière à la promotion des valeurs helvétiques à travers la beauté et la grandeur du paysage suisse. Il participe activement à la vie politique de sa ville natale, partageant les idées des libéraux modérés et s’opposant fortement aux conservateurs gouvernementaux de la Restauration.
Premier peintre genevois à affectionner le motif des Alpes, il forme dès 1829 des élèves, dont Alexandre Calame qui devient un ami et un rival en la matière. Grâce à ces deux artistes, la peinture genevoise de paysage se fait connaître à travers toute l’Europe : ils exposent à Paris, à Bruxelles, à Vienne, à Turin, sont primés, admirés, achetés par les collectionneurs et les têtes couronnées européennes.
Artiste engagé, Diday souhaite créer une école gratuite de dessin à Genève et offre à la Société des Arts une somme destinée à l’organisation de concours pour les artistes dont Hodler sera l’un des bénéficiaires. Il lègue également deux immeubles à la Ville, dont le revenu doit être employé chaque année à l’achat d’œuvres d’artistes suisses.